Et d’autres fois, non, un défilé de confirmations.
Par exemple, tu vois dans un débat metoo une personne raconter entièrement n’importe quoi, et avec un ton dictatorial qui indique que son avis ne peut supporter aucune contradiction, et que ce qui sort de sa bouche est une vérité incontestable. ( cela me rappelle une alchimiste consultante en ayurvéda qui empêche tout débat, réel, et, virtuel )
Merci google, elle est rédactrice ajointe chez Elle magazine.
Vous savez, ou pas, les mêmes qui relaient depuis quelques années tout le bullshit des ésotérismes qui rendent faibles et dingoes.
Et une juriste, elle, a rappelé plusieurs vérités, notamment que des chiffres avancés par les féministes, et donnés partout comme une vérité, sont pourtant totalement impossibles à obtenir d’une quelconque manière que ce soit.
Cette convergence devient tellement évidente, que c’en est gênant.
Non stop : une journaliste sur le même plateau, et qui se sent tout autant certaine des contre vérités qu’elle professe, a déclaré publiquement : « elle l’a prouvé sur twitter ».
Ce qui nous amène à un troisième pilier du n’importe quoi, les réseaux sociaux.
Dernière minute, toutes les dingoes prenaient la défense de Amber Heard, dont il semblait pourtant évident que c’est une perverse manipulatrice et mythomane patentée.
La justice a tranché, et celle dont elles prenaient la défense, va devoir mieux travailler son féminin sacré, et sortir près de 10 millions de dollars :